Sur une simple sangle de 2,5cm, ils défient le vide d’aiguille en aiguille. Depuis quinze ans et le numéro d’Henri Réchatin, alias Henry’s entre les pitons de l’aiguille du Midi, on n’avait pas vu pareille sensation dans le massif du Mont-Blanc.Voilà que discrètement, l’an dernier, tels les Quatre fantastiques, un quatuor sympathique de funambules s’est mis à marcher sur les précipices à pas de velours.
Julien Millot et Antoine Moineville dans leurs œuvres à la Dent du Géant (4?013 m) ou à la Tour rouge à près de 3?500 m d’altitude, des sommets échancrés du massif du Mont-Blanc qui se prêtent aux facéties acrobatiques de ces alpinistes. Photo Rémi DEMAUVE et Guillaume FORGET-PATRY
Ouh là là ! Ce n'est pas pour moi ce genre de numéro d’équilibriste mais bravo à ces amoureux de sensations extrêmes !
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