jeudi 25 mars 2010

Edgar Grospiron: «Nos concurrents ont mis la barre très haut»



Edgar Grospiron prend la tête de la candidature d'Annecy aux JO 2018, en compagnie de l'ancienne slalomeuse Perrine Pelen. Ici, le 18 mars 2009
Edgar Grospiron prend la tête de la candidature d'Annecy aux JO 2018, en compagnie de l'ancienne slalomeuse Perrine Pelen. Ici, le 18 mars 2009/REUTERS/Charles Platiau
OLYMPISME - Le directeur d'Annecy 2018 est fier de son dossier de candidature. Mais sait que la bataille va être rude...
D’habitude enjouée, la voix d’Edgar Grospiron est calme. La fatigue? Il faut dire que le champion olympique de ski de bosses en 1992 n’a pas chômé depuis qu’il a repris les rênes de la candidature d’Annecy aux Jeux d’hiver 2018. Voyage à Vancouver, rencontres avec les décideurs sportifs, politiques, économiques, tournée des médias. Grospiron s’est engagé dans une course plus piégeuse qu’un champ de bosses. Et celle-ci devrait durer jusqu'au 6 juillet 2011, date de la décision finale.


Vous avez remis lundi votre dossier de candidature au CIO, moins de deux mois après votre arrivée à la tête d’Annecy 2018. Ca ne laisse pas beaucoup de temps pour réfléchir…

Effectivement, les délais était très compliqués à tenir et le travail remis est énorme. Mais quand on regarde la qualité du dossier et qu’on le met en perspective avec les attentes du CIO, on se rend compte qu’on est dans la  ligne. Selon moi, on est même très bien.
 

Qu’est-ce qui vous incite à l’optimisme?

Notre concept. Différent des autres candidats puisque notre projet est multipôle et compact, dans un rayon de 50 km. Notre choix s’est porté sur des sites avec des noms mythiques comme Chamonix, Megève, Morzine, La Plagne. On est sûr qu’il y aura de l’ambiance et que sportivement on sera à la pointe. Notre projet répond à l’exigence de mise en valeur des performances sportives, dans une ambiance festive tout en garantissant des conditions de travail optimales pour les journalistes du monde entier.
 

On ne peut pas nier l’avance des deux autres concurrents, Munich et Pyeongchang en Corée du Sud…

Oui, mais cette avance ne joue pas sur le dossier. Elle est visible en terme de lobbying. Nos concurrents on tmis la barre haute. Munich s’est porté candidat très tôt [dès 2007], avec le soutien de Thomas Bach, membre éminent du CIO [il est vice-président] et même candidat à sa présidence. En ce qui concerne, Pyeongchang, ça fait huit ans qu’ils sont dans la course puisqu’ils ont échoué deux fois en finale. De ce point de vue-là, nous avons donc du travail.
 

A l’inverse, Antoine Deneriaz n’a pas été élu à la commission des athlètes du CIO

Oui, c’est une déception. Pour lui surtout. Je pense que la candidature ne l’a pas servi parce qu’il y a eu un lobbying contre lui orchestré par nos deux concurrents. Evidemment pour nous aussi, c’est dommage. Avoir un troisième membre au CIO [en plus de Jean-Claude Killy et Guy Drut] aurait été un avantage.

 

Votre séjour à Vancouver vous a inspiré pour votre propre dossier?

Annecy n’a pas la même configuration que Vancouver, mais on a pu observer la qualité des infrastructures mise en place. Les pistes étaient d’un niveau très pointu…
 

On a quand même constaté que la neige n’était pas toujours d’une très bonne qualité.

Mais ce n’est pas à la neige de s’adapter à la compétition. C’est au sportif d’être suffisamment complet pour briller sur tous les terrains. Pour moi, c’est ça un champion!

 

Pendant les JO, vous aviez une double casquette de consultant sur France TV et de directeur de la candidature. Pas trop compliqué?

Au niveau de l’agenda, oui. J’aurais bien aimé me dédoubler par moment.
Propos recueillis par Matthieu Payen

mardi 16 mars 2010

La vidéo offre la démonstration de la jeune Kseniya Simonova , lors de la finale "Tu as du talent" , en Ukraine



Elle est arrivée à faire pleurer le jury lors de cette finale où elle représentait une scène de l'invasion allemande d'Ukraine durant la seconde guerre mondiale ,
 
en utilisant ses doigts sur une superficie de sable.
 
C'est extraordinaire...

dimanche 14 mars 2010

Nouveau site de co voiturage!
par otc


Nous ne remettrons pas en cause notre forum de co voiturage qui a fait l'objet de plusieurs articles dans le Dauphiné...Mais nous tenons à souligner cette bonne initiative qui permet d'aller une fois de plus dans le bon sens. Voici donc le site de co voiturage tant attendu...

Plus d'excuse pour ne pas partager sa voiture...Vous trouverez sur ce site votre bonheur!

Trouver quelqu'un pour aller faire les magasins ou les musées à Lyon, à Paris ou ailleurs...Milan?

Trouver quelqu'un pour prendre le train ou l'avion...

Trouver quelqu'un pour simplement aller au boulot le matin...Et rentrer le soir...

C'est Jeff de Net cible qui a conçu le site. Comme beaucoup d'entre nous, Jeff se déplace. Chamoniard depuis 20 ans, il a pu observer que diminuer le trafic routier permettrait d'alléger notre vallée. Comme tout bon concepteur de site Internet, ce site s'est présenté comme inévitable...Alors, il l'a fait...

Rendez-vous sur www.chamonix-covoiturage.com!

jeudi 4 mars 2010


BLACK WEEK-END
DU MERCREDI 17 MARS 2010 AU SAMEDI 20 MARS 2010Le Black Weekend est un événement qui rassemble l?essence de la glisse sur neige et la scène musicale émergente : 4 jours blancs et 4 nuits noires


Une ouverture sur les nouvelles cultures créatives, une manifestation inédite, visuelle et sonore, autour de créateurs internationaux. Boss des bosses (le 17), DJ Sets et concerts avec têtes d?affiche (le 20).


Lieu de la manifestation : Chamonix-Mont-Blanc
Renseignements : Mairie de Chamonix-Mont-Blanc
Tél : 04 50 53 38 24
Site internet : http://www.blackweekend.com

mardi 2 mars 2010

Voyage Carnet de route à Chamonix, la montagne à l'extrême





Bonnes adresses pour un séjour à Chamonix et conversation amoureuse et grisante au pied du Mont-Blanc...

Au détour d'une rue ou au-dessus d'un toit, il est partout, omniprésent. Une force tranquille qui veille en silence sur Chamonix. Écrasant, le mont Blanc ? Pas tant que ça. On le trouverait presque humble et accessible, ce colosse haut de 4 810 mètres. Doux, surtout, avec ses rondeurs molles et poudrées qui tranchent avec les arêtes aiguisées de ses voisines, sévères et fières, à l'image des Drus. Voilà le secret du mont Blanc, la vraie montagne magique : il ne réserve sa puissance qu'à ceux qui s'aventurent à l'approcher de tout près. Plus on monte en altitude, plus il semble imposant et dominateur.
Depuis la plate-forme de l'aiguille du Midi, celui qui semble presque innocent depuis les ruelles bordées de boutiques élégantes de Chamonix se transforme en une masse gigantesque jouant un spectacle grandiose avec la lumière. Voir l'aube sortir de la pénombre et embraser, l'un après l'autre, glaciers, cimes et aiguilles, est un miracle de la vie. Se libère alors ce parfum de légende que distillent certains lieux au pouvoir magnétique dont les noms seuls font rêver : Everest, Sahara, cap Horn... Autant d'icônes de la démesure, de geysers d'énergie pure qui donnent envie de se dépasser, de conquérir. Le mont Blanc, c'est la voie initiatique par essence.

Ce "la-haut" est alors un autre monde...

C'est aussi une aventure fantastique, riche et exaltante comme une saga russe, jalonnée de drames et de larmes. Une épopée des cimes qui s'est construite au fil des ans et des vies. Des vies prises à Chamonix, pour la plupart. Pourtant, ce sont deux Anglais, William Wyndham et Richard Pococke qui, les premiers, auront envie, en 1741, "d'aller voir si, en montant sur la montagne, on pouvait découvrir quelque chose de plus". Ce "là-haut" est alors un autre monde, hostile et mystérieux, terre de mythes et de sortilèges. Les Anglais entreprennent une expédition vers le Montenvers et décrivent le choc ressenti devant le glacier qu'ils baptisent Mer de Glace, dans Relation d'un voyage aux glacières de Savoie, un ouvrage qui a sans doute été le premier à démystifier la haute montagne. Le livre connaît un immense succès et les touristes commencent à affluer à Chamonix. Se développe alors une culture de l'accueil, et on s'improvise hébergeur ou accompagnateur. Les Chamoniards apprennent à apprivoiser et à conquérir ces "monts affreux" où nul ne s'aventurait jusqu'alors.

Fraternité au sommet

Pas d'ascension du Cervin pour William Whymper sans Michel Croz, qui y perdit la vie. Pas d'escalade de l'aiguille du Fou sans Ravanel le Rouge. Les premiers à fouler les neiges inviolées du mont Blanc en août 1786 furent le médecin Michel Paccard et le chasseur de chamois Jacques Balmat, à l'instigation du naturaliste et géologue genevois Horace Bénédict de Saussure, auteur du célèbre Voyages dans les Alpes. Et quant à la première hivernale, on la doit à Jean Charlet-Straton.
En 1821, les deux mondes, la vallée et la haute montagne, s'unissent définitivement : les Chamoniards écrivent une page essentielle de l'histoire de l'alpinisme en créant la Compagnie des Guides de Chamonix, immortalisée par le célébrissime Premier de cordée de Roger Frison-Roche. La voie est ouverte et ce Chamonix-mont Blanc, entité fraternelle qui n'aura d'existence légale qu'en 1921, ne cesse de fasciner.
Explorateurs, peintres, écrivains, poètes participent au tournant du XXe siècle à la mutation du village en reine de la villégiature d'été, capitale de l'alpinisme, puis grande élégante des sports d'hiver. En moins de dix ans, les palaces "larges, pansus, hauts, superbes, plantureux", comme les qualifiait le voyageur Amédée Achard, fleurissent et aristocrates et grandes fortunes affluent. Qui n'a pas en tête ces promeneuses huppées et chapeautées qui découvrent à dos de mulet la Mer de Glace ? Ou les photographies à la beauté cristalline de Jacques-Henri Lartigue, témoin d'un art de vivre délicieusement mondain, évanescent comme une bulle de champagne, qui se trouve ici autant à son aise qu'à Biarritz ou à Deauville...
Aujourd'hui, cet esprit du bel hôtel perdure, que ce soit au légendaire Hameau Albert Ier qui, tout en gardant son caractère, se réinvente régulièrement, aux Aiglons, rénové complètement fin 2008, ou encore au Morgane, très soucieux de préserver son environnement d'exception. Une culture de l'après-ski et du plaisir qui double de soie le caractère bien trempé de cette ville-station intrépide, innovante, jamais effrayée par les projets, aussi démesurés soient-ils. Qui aurait imaginé que l'aiguille du Midi, perchée à 3 842 mètres, serait un jour reliée à Chamonix par un câble ? Après cinquante ans de travaux, lancés en 1905, et de nombreuses vicissitudes, on peut enfin, en vingt minutes à peine (et grâce à un deuxième tronçon particulièrement spectaculaire !) s'offrir une plongée en haute montagne, au cœur de l'extrême.



Quant au téléphérique des Grands Montets, projet pharaonique mis en œuvre dans les années 1960, il a fait de ce décor stupéfiant dominé par l'aiguille Verte le lieu mythique du très grand ski et un laboratoire d'essai pour les nouvelles glisses. Entre bien-être et sport extrême, Chamonix-mont Blanc, c'est la montagne plein cadre.
Nos meilleures adresses

Où dormir ?

Le Morgane, pour son esprit contemporain et naturel. Très engagé en faveur du développement durable et de l'environnement, Le Morgane est l'un des premiers hôtels de montagne qui peut s'enorgueillir d'un bilan énergétique sans émission de CO2 grâce aux panneaux solaires installés sur le toit et à l'utilisation de sources d'énergies renouvelables. Quelques 56 chambres, de 20 m2 à 50 m2, avec vue sur le mont Blanc, le Brévent ou l'aiguille Verte. À partir de 200 € en haute saison. 145, avenue de l'aiguille du Midi. Tél. 04 50 53 57 15 et morgane-hotel-chamonix.com
Les Aiglons bouscule les codes de l'hôtellerie traditionnelle de montagne en jouant la carte de l'anticonformisme et de l'audace. Pierre, verre et lumière sont les ingrédients de cette recette pétillante. 107 chambres, un spa, un restaurant et une piscine extérieure chauffée face au mont Blanc ! À partir de 110 € en haute saison. 270, av. de Courmayeur. Tél. 04 50 55 90 93 et aiglons.com
Le Hameau Albert 1er (2), une institution doublée d'une belle histoire de famille. Trois types d'hébergement possibles : l'Albert 1er, avec ses 21 chambres et ses suites avec vue sur le jardin ou le mont Blanc qui marient design, art populaire et matériaux anciens ; La Ferme, une quinzaine de chalets en bordure de parc qui accueillent 12 chambres de caractère, et Le Chalet Soli, un chalet indépendant de 120 m2 qui peut accueillir jusqu'à 6 personnes. À partir de 210 € en haute saison. 38, route du Bouchet. Tél. 04 50 53 05 09 et hameaualbert.fr
La Ginabelle, face à la gare de départ du Montenvers, 70 appartements répartis en 3 chalets, du 2 au 4 pièces haut de gamme à la déco traditionnelle, avec un grand espace bien-être. À partir de 630 € la semaine en 2 pièces. Tél. 08 92 35 06 80 et residences-mgm.com
Maeva La Rivière, une résidence confortable et bien située dans le quartier de Chamonix Sud, à proximité du téléphérique. Prix à la semaine à partir de 640 € le studio pour 4 personnes. 187, promenade Marie-Paradis. Tél. 04 50 53 37 87. 

Où dîner ?

Atmosphère, pour la carte d'hiver bien tournée de Mickael Guibert : bresaola du val d'Aoste à l'huile d'olive et copeaux de parmesan ; foie gras de canard maison, chutney aux griottes ; sole "petit bateau" (350 grs) meunière ou grillée ; carré d'agneau persillé, rôti et petit jus parfumé au thym... Mais aussi tartiflette des Aravis aux pruneaux ; pierre chaude aux trois viandes... Menu tradition à 30 €. 123, place Balmat. Tél. 04 50 55 97 97 et restaurant-atmosphere.com
Le Bistrot où exerce Mickey, un ancien de l'Albert 1er, et Valery Allard, ex-sommelier du Flocons de Sel, à Megève. À la carte, champignons en cappuccino et foie gras, dos rôti de lièvre avec une compotée de potirons aux noisettes du Piémont, demi-homard et sa salade de pommes de terre tièdes à la roussette de Savoie... Les desserts ne sont pas en reste avec la pomme en brioche perdue et glace au caramel ! 42 € le menu classique et 65 € le menu découverte avec 5 plats, fromage et dessert selon l'inspiration du chef.
151, avenue de l'aiguille du Midi. Tél. 04 50 53 57 64 etlebistrotchamonix.com
La Bergerie, à Planpraz, juste à la sortie de la télécabine, sur le domaine du Brévent. Une belle terrasse à 2 000 mètres d'altitude, face au mont Blanc, et des plats bien revigorants pour repartir sur les pistes. Grillades au feu de bois et grands classiques de la montagne. Menus à 15 € et 24 €. Domaine Brévent Flégère, Argentière. Tél. 04 50 53 05 42 et restaurants-altitude.com/ete/bergerie/bergerie 
La Cabane des Praz, combine architecture traditionnelle et design. Spécialités autour du fromage et sur la pierre, et une thématique chasse en automne. Menu à 28 €, avec notamment une terrine de lièvre aux girolles, un agneau de sept heures confit et le dessert du jour. Tél. 04 50 53 23 27 et restaurant-lacabane.com
L'Impossible est une ancienne ferme qui accueille un joyeux désordre d'objets du XVIIIe siècle, des reproductions de tableaux célèbres, des grands lustres baroques... La classique tartiflette partage la vedette avec les plateaux de fruits de mer. Menus à partir de 30 €. 9, chemin du Cry. Tél. 04 50 53 20 36.
L'M est l'une des terrasses les plus agréables de Chamonix sur laquelle on déguste une carte sympathique en admirant les aiguilles du Midi, du Plan, de Charmoz et de Blaitière ! 81, rue Joseph-Vallot. Tél. 04 50 53 58 30

Shopping

Refuge Payot, une institution pour les amateurs de fromage, de confiture et de charcuterie. 255, rue du Docteur-Paccard. Tél. 04 50 53 16 86 et refugepayot.com
Cocktail Scandinave, spécialiste de la déco traditionnelle de montagne. Pour retrouver l'atmosphère du grand Nord dans les Alpes ! De la chambre au salon, du bois massif pour toute le maison. Également des objets et accessoires déco. Centre commercial Alpina, 1, rue du mont-Blanc. Tél. 04 50 53 15 19 et cocktailscandinave.fr
Rêves d'Hiverpropose dans un espace tout en bois du beau linge de maison (Legend'enhaut et Linum, notamment), des accessoires, de l'art de la table et du mobilier d'intérieur de charme. Très riche en idées cadeaux originales. Et aussi une partie consacrée à l'univers de la salle de bains. 211 et 222, avenue Michel-Croz. Tél. 04 50 53 64 68 etrevesdhiverchamonix.com
Les Petites Galerie, pour le linge de maison fabriqué à la Filature Arpin. 35, rue Paccard. Tél. 04 50 53 19 17.
Mon Blanc Calin, pour les collections de linge de maison toutes douces signées Sylvie Thiriez.197, av. Michel-Croz.Tél. 50 53 91 06 etsylviethiriezcreations.com

A faire

Découvrir la vallée Blanche avec un guide confirmé. Ceux de la légendaire Compagnie des Guides de Chamonix sont formidables. Maison de la montagne, 190, place de l'Église. Tél. 04 50 53 00 88 etchamonix-guides.com
Skier sur le domaine de la vallée de Chamonix, le plus beau de Haute-Savoie. Répartis sur plusieurs massifs, reliés entre eux par navette : le Brévent et l'aiguille du Midi à Chamonix, la Flégère au Praz, les Grands-Montets à Argentière et la Balme au Tour. Avec le Chamonix le Pass, accès aux 3 domaines skiables (Grands Montets, Balme, Brévent-Flégère) : 38,50 € la journée, 192 € les 6 jours de skiconsécutifs. Également le Mont Blanc Unlimited, qui donne accès aux 4 domaines skiables (Grands Montets, Balme, Brévent-Flégère et Courmayeur, en Italie) et aux 4 sites d'excursion (téléphérique de l'aiguille du Midi - accès vallée Blanche, train du Montenvers - Mer de Glace, Tramway du mont Blanc et, en Italie, Funivie monte Bianco, "l'autre" vallée Blanche) : 48,50 € la journée adulte, 235 € les 6 jours de ski consécutifs. 35, place de la Mer de Glace. Tél. 04 50 53 22 75 etcompagniedumontblanc.fr

A visiter

Le Musée alpin, installé dans l'ancien Chamonix Palace. Toute l'histoire de la vallée, l'épopée de la conquête des cimes, les débuts du ski... Et aussi une belle collection d'estampes et de peintures. 89, avenue Michel-Croz. Tél. 04 50 53 25 93.
L'Espace Tairraz, situé juste au-dessus de l'église, sur le parvis Saint-Michel, abrite notamment le musée des Cristaux et sa collection exceptionnelle de minéraux du mont Blanc, quelque 450 pièces. Tél. 04 50 55 53 93.

Pratique

Office de tourisme de Chamonix, 85, place du Triangle de l'Amitié. Tél. 04 50 53 00 24 et chamonix.com

Elodie Frégé : découvrez son single La fille de l'après-midi



Elodie Frégé propose son premier single intitulé La fille de l'après-midi. Un titre qui sera disponible dans le prochain album de la chanteuse. Découvrez-le.

Elodie Frégé : découvrez son single La fille de l'après-midiElodie Frégé revient avec un troisième album dès avril prochain. Quatre ans après son précédent disque Le jeu des sept erreurs, la chanteuse dévoile son nouveau single, La fille de l'après-midi.Après un opus qui a rencontré un beau succès en 2006, elle continue dans la même voie avec ce premier titre. La jeune femme reste dans la poésie et n'hésite pas à jouer avec les mots dans ce single. "Vous m'aviez versé divers aveux et vertueux essais, laissant penser. Mais après vous m'avez laissé là vivoter entre vous et mes si éventés", chante-t-elle. Elodie Frégé dévoilera prochainement le clip de ce single et proposera ses nouveaux titres sur scène au cours d'une tournée dans toute la France, qui passera par le Théâtre Marigny de Paris le 16 mai prochain.

Ecrit mar 23 févr 2010 15:00 CET par News de stars in Avatar de stars
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